• Bonjour à tous ! Cela fait maintenant depuis mardi que je n'ai rien posté... et ce n'est pas long. Car, en effet, mercredi j'avais du travail scolaire et bah hier j'ai fait l'article. Mais, bon, normalement, demain, je fais un dossier WWF sur je sais pas quoi, et une série de photos. La semaine prochaine le massacre des Îles Féroés, et, si je tiens tout ça, je serais heureux. Bref, bonne lecture ! ^^

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    GRIZZLY : Un film, un documentaire, une histoire de vie

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    Je vais, dans le courant de cet article, vous parlez du film Grizzly, et, par la même occasion, vous sortir un peu plus d’infos sur cet animal qui est l’ours brun. Bonne lecture.

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    I° : Le film

    Grizzly : Un film, un documentaire, une histoire de vie.

    Ce petit paragraphe portera sur le film.

    Le film Grizzly est un film produit par Disney Nature, et raconte la vie d’une famille d’ours bruns, en l’occurrence la première année de deux jeunes : Amber et Scout. Les images du film sont incroyablement belles, et, encore plus : elles sont tournées par des caméramans et une équipe dans le milieu naturel des ours, non apprivoisés, avec leur comportement habituel ! C’est d’autant plus impressionnant que le film est un véritable chef-d’œuvre. L’histoire est tellement bien construite, heureuse, mystérieuse. Elle est tellement intéressante. C’est vraiment un beau documentaire intéressant à voir.

     

    II° : Les Grizzlys

    Les grizzlys, ou ours bruns, sont des ours vivants dans les montagnes du Canada et de l’Alaska. Le grizzly hiberne en hiver dans une grotte, qui sera recouverte de neige en hiver. Une fois la belle saison revenue, ils sortent d’hivernage et la femelle a avec elle des petits (1, 2 ou 3). Alors là, un vrai défi, un combat commence pour la jeune mère qui doit assurer la survie de ses petits pendant leur première année, la plus dure de leur vie. Ils vont devoirs résisté aux attaques de prédateurs, notamment de loups, et à la famine juste avant l’arrivée du saumon dans la rivière… et même au mâle dominant de la zone de vie. En cas de famine, ce-dernier n’hésite pas à manger les petits lorsque la mère est distraite.

    Grizzly : Un film, un documentaire, une histoire de vie.

    La mère, pour pouvoir allaiter ses petits et refaire une réserve de graisse pour l’hiver, doit manger tout au long de la période de famine. Pour cela, elle peut manger de l’herbe et même des palourdes et des anguilles trouvées sous les rochers de la mer à marée basse.

    C’est l’été, les saumons reviennent de la mer pour remonter au nid de la rivière, là où ils sont nés pour pouvoir à leur tour pondre et faire naître des petits. Pour cela, ils vont remonter jusqu’à l’embouchure de la rivière, pour quelques semaines d’adaptation. Pendant ce temps d’adaptation, les ours bruns en profitent pour reprendre leur habitude de pêche ! 

    Après ces quelques semaines d’adaptation, les saumons remontent vers la source du fleuve. Dans le film, ils n’y arriveront pas. Donc, au cas où le problème se poserait, les ours ont un endroit secret : le lac doré. Là, le poisson y est abondant. Une fois rassasié, la saison froide revenue, les petits sont de plus en plus indépendants mais resteront avec leur mère pendant encore 1 année ! La famille retourne donc dans une grotte pour hiverner… et c’est un cercle.

    Grizzly : Un film, un documentaire, une histoire de vie.

    Grizzly : Un film, un documentaire, une histoire de vie.

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    Voilà ! :3 Cet article est à présent terminé. J'espère qu'il vous aura plus. Je vous souhaite une excellente journée, et vous dit à bientôt ! :D

    Sources des images : 

             => 123savoie.com

    => allocine.com

    => disney-addict.com

    => mommymangaga.com

    Grizzly : Un film, un documentaire, une histoire de vie.


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  • Hello ! :D 

    J'ai déjà parlé il y a une semaine de la migration aérienne des hirondelles, je vais vous parler de la migration des baleines à bosses, sous-marines. Deux phénomènes différents.  

    Bonne lecture à tous ! :D 

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    La migration des baleines à bosses

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    Les baleines à bosses migrent chaque année pour suivre leur nourriture et se reproduire. Elles parcourent chaque année plus de 25 000 kilomètres. Découvrons et étudions chaque partie  de ce voyage périlleux que ces animaux parcourent chaque année.

    Mais, avant, présentons brièvement la baleine à bosses. Les baleines à bosses sont à ce jour environ 35 000 individus qui nagent en groupe de plusieurs individus dans toutes les eaux du monde. C’est pour cela qu’elles connaissent parfaitement le flux migratoire. La baleine à bosses se reconnait grâce à son dos noir, ses nageoires pectorales et son ventre blanc. Elle peut peser jusqu’à 15 tonnes et mesurer 15 mètres de long ! Les baleines à bosses peuvent faire de gracieux sauts montant jusqu’à 5 mètres de haut ! Lorsque les eaux froides se refroidissent d’avantage, les baleines migrent vers le nord, au large de l’Afrique, pour  se reproduire. Après 5 000 kilomètres de nagent, une fois arriver à destination, elles s’accouplent et 11 mois plus tard, des petits baleineaux naissent !

    Un fois qu’ils sont  assez grand pour nager, le troupeau de baleines se dirigent vers les eaux froides à une vitesse d’environ 10 kilomètres par heure. Elles voyagent généralement sans se nourrir, puissant sur leur réserve  de graisse acquise précédemment. Elles ont pour direction l’Antarctique.

    Une fois arrivé en Antarctique, le troupeau doit se refaire une réserve de nourriture ! Elle va alors, grâce à sa queue, fouetter les proies pour les étourdir et va  ensuite avaler des tonnes de poissons, comme le hareng mais surtout le krill (des petites crevettes) ! Mais, elle peut aussi utiliser la technique du filet de pêche à bulles, qui consiste à entourer par groupe des bancs de poissons, et souffler des bulles ! Les poissons sont alors pris dans ces bulles et les baleines à bosses n’ont plus qu’à ce servir ! Elles vont manger ainsi pendant 6 mois, avant de remonter vers l’Océan Indien.

    Vers la fin avril-début mai, les baleines remontent vers le Nord, vers les eaux chaudes. Une fois arrivé –ou presque- à destination, vers octobre novembre (la période actuelle), vous aurez peut-être la chance d’entendre les baleines à bosses chanter au large de Madagascar ! C’est la saison des amours chez les baleines à bosses, où le mâle chante pour séduire la femelle.  Cette harmonie peut durer des heures, voire des jours ! Les mâles peuvent même faire des « combats de sauts », celui qui saute le plus haut gagne la main de la femelle ! Ensuite, une fois les couples formés, la femelle après 11 mois de gestation va faire naître le petit baleineau lors du long voyage !  

    Voilà, le tour est fait. Pour mieux visualisé, une petite carte :

    La migration des Baleines à Bosses.

    (cliquez sur l'image !)

    ~

    Voilà ! Je vous laisse maintenant. Bonne Armistice, je pense vous retrouver pour un article de ce genre, mais sur un sujet dramatique !

    Bonne soirée,

    La migration des Baleines à Bosses.


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  • Bonjour vous ! happy

    Aujourd'hui, une petite série de photos sur un chat qui est déjà apparu précédemment ICI, son demi-frère ICI et le duo ICI !

    Bon visionnage.

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    Polochon, jeune mâle.

    Polochon, jeune mâle.

    Polochon, jeune mâle.

    Câlinou à gauche, le demi-frère de Polochon qui est à droite.

    Polochon, jeune mâle.

    Ambiance Détendue.

    Ambiance Détendue.

     ~¤~

    Voilà ! J'espère que cette série vous aura plu. Si vous avez des commentaires à faire, j'y répondrais avec grand plaisir. Il vous suffit de cliquer sur "votre commentaire" ci-dessous et d'écrire... votre commentaire ! Si vous avez un problème avec les liens, n'hésitez pas à le préciser également. 

    Au nom du blog, je vous souhaite une excellente fin de visite sur Protégeons la Nature !

    Ambiance Détendue.


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  • Bonjour à tous ! 

    Désolé de ne presque pas avoir posté d'articles cette semaine, mais je travaillais sur ce dossier depuis mercredi soir, et, je ne l'ai achevé qu'hier dans la soirée ^^'. Donc, el voici : le plus long dossier pour l'instant, sur les lémuriens. 

    Bonne lecture ! :D 

    ~

    Dossier Novembre : Les Lémuriens

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    Au programme, pour ce dossier : 

    => Nos lointains cousins, les lémuriens

    => Un mammifère habile et expressif

    => Protégeons les lémuriens !

    => Les lémuriens diurnes

    => Les lémuriens nocturnes

    ***

    I° : Nos lointains cousins, les lémuriens.

    Les lémuriens sont une petite famille appartenant à l’ordre des primates, comme l’Homme. Ce qui en fait nos lointains cousins, au même titre que tous les autres primates. Les lémuriens, contrairement à leurs roches ancêtres les loris, ce sont installés non pas sur le continent Africain mais sur une île très proche : Madagascar. L’intérêt qu’ils ont à être arriver sur cette île est que grâce à la forêt dense, les lémuriens n’ont qu’un seul prédateur : le fossa fossa (félin), car l'Homme en fait bien évidemment parti pour la destruction de son habitat (voir III°). C’est sûrement grâce à ce peut de prédateurs quel les lémuriens se sont développés très rapidement et sur toute la surface de l’île. Les lémuriens sont arrivés à Madagascar, mais comment ? Personne n’en ai certain mais l’on pense que c’est grâce aux arbres tombés sur le Canal de Mozambique qui sépare l’île du continent. Les lémuriens s’en seraient servis comme d’un radeau, et qu’ils ont finalement débarqués sur l’île.

    II° : Un mammifère habille et expressif

    Il y a seulement 2000 ans, une espèce de lémuriens géants de la taille d’un gorille a existé. Actuellement, les lémuriens sont plutôt de petites tailles et ressemblent à des petits singes malgré le fait qu’il soit tous différents par leurs couleurs et leurs tailles.

    Ils sont en grande partie dotés d’une queue touffue, et possède tous des membres équipés de 5 doigts pourvus d’angle plats, sauf un orteil avec une griffe qui sert à faire leur toilette. Les crânes des lémuriens sont volumineux et possèdent un long museau allongé. Les lémuriens ont une orbite oculaire tournée vers l’avant, comme l’Homme, mais ils ne voient en général que d’une seule couleur.  Les lémuriens disposent également d’une « palette » de cris, très variée, allant de cris de guerre aux cris d’amour les plus fous. Vous aurez plus de chances d’entendre un lémurien que d’en apercevoir un. Ces primates sont tous arboricoles : ils vivent en général en groupe hiérarchique mais tous vivent dans les arbres.

    Les lémuriens sont frileux : ils recherchent sans cesse le Soleil. D’ailleurs, ils passent une grande partie de leur journée à faire des bains de Soleil, à dormir et à rechercher de la nourriture. Les lémuriens sont essentiellement végétariens, se nourrissant de fruits, de fleurs et feuilles… mais ils ne se refusent pas larves et insectes !

    La femelle lémurien n’est fertile que de deux à trois jours par an. La reproduction est donc une tâche difficile : le mâle ne doit pas rater le bon moment. La période de reproduction vraie en fonction des espèces et la femelle ne fait naître qu’un seul petit, mais peut aller jusqu’à 3 par portée, qu’elle va allaiter deux mois. A partir de leur dix-huit mois, les petits sont totalement autonomes et matures sexuellement. Les lémuriens vivent en moyenne de 10 à 15 ans à l’état naturel mais ils peuvent vivre jusqu’à trente ans en captivité !

    III° : Protégeons les lémuriens !

    D’après UICN (Union Internationale pour la Conservation des espèces), une espèce de lémurien sur quatre est vulnérable, même chiffre pour les lémuriens en voie de disparition et une sur six est en danger critique d’extinction.  Une convention interdit le trafic de lémuriens, mais  l’on constate qu’il y en a toujours notamment pour leur viande et pour en faire des animaux de compagnie. Mais, au-delà de ce problème, la problématique de la destruction de leur habitat naturel est aussi une des raisons de la perte des lémuriens. Les autorités malgaches comptent cependant créer de nouveaux espaces protégés sur l’île qui abrite ¼ des primates de la Terre. Le WWF, quant à lui, compte restaurer la forêt de l’Est de l’île. Les parcs zoologiques font aussi des efforts : 40 zoos se sont associés pour la reproduction des lémuriens et les relâcher ensuite dans les zones protégées de Madagascar.

    IV° : Les lémuriens diurnes

    Les lémuriens diurnes sont vraiment très discrets. Etudions un peu plus en détails quelques familles et espèces :

    Ø  Les Indris

    WWF / Dossier n°5 : Les lémuriens.

     

    Les indris (ou indridés) sont parmi les plus grands lémuriens du monde, et sont tous végétariens. Les indris sont considérés diurnes car la plus grandes parties des sous-espèces sont diurnes, à l’exception de l’avahi au pelage gris-roux, c’est-à-dire qu’ils sont de sortie le  jour et de repos la nuit.

     

     

    Ø  L’indri-indri

    L’indri-indri est le plus grand lémurien du monde connu : il peut faire jusqu’à 75 centimètres de hauteur pour neuf kilogrammes ! On peut les trouver par groupes familiaux sur la côte Est de Madagascar, qui sont dominés par des mâles. Son pelage est noir et blanc,  sa queue est minuscule, ce qui fait de l’indri-indri un lémurien discret. Il ressemble drôlement à l’Homme, ce qui explique que les habitants de l’île pensent qu’il est l’ancêtre le plus proche de l’Homme. L’indri-indri se fait remarquer notamment pour pouvoir pousser des cris à deux kilomètres à la ronde.

    Ø  Les makis-catta

    WWF / Dossier n°5 : Les lémuriens.

    Les makis se sont adaptés à tout type de lieu ! C’est d’ailleurs pour ça que l’on peut le trouver sur toute l’île. Les makis consacrent une grande partie de leur journée à manger des gousses et des feuilles de tamarinier. Le maki-catta  est devenu l’emblème de Madagascar. Sa queue est aussi longue que son corps qui fait 50 centimètres. Elle possède une alternance de 24 anneaux rayés de noir et de blanc. Contrairement aux autres lémuriens, le maki-catta est aussi à l’aise sur Terre où il se déplace à quatre pattes que dans les arbres où il se relève très bon grimpeur ! Les malis vivent en groupe d’une quinzaine d’individus soudés, où presque aucunes bagarres (sauf les mâles pour les femelles) n’ont lieu. Ils marquent  leur immense territoire par la disposition d’urine  et de sécrétassions. Ils vivent dans un groupe hiérarchique et communique par mouvements de queue, de corps, de tête ou même par mimiques. Les makis possèdent également un large répertoire de cris aigu.

     

     

     

    V° : Les lémuriens nocturnes

    Dans les lémuriens nocturnes, on distingue cinq grandes familles :

    ©  Les cheirogaleinés

    ©  Les daubentonidés

    ©  Les lepilemuridés

    ©  Les indridés

    ©  Les lémuridés

    Etudions quelques familles :

    Ø  Les chirogales (famille : cheiroaleinés

    WWF / Dossier n°5 : Les lémuriens.

    Ce sont de petits lémuriens qui ressemblent d’avantage à un écureuil qu’à un singe. Cette famille regroupe 25 espèces dures à identifier pour leur ressembles physiques flagrantes. Dans ces familles, les microcèbes, qui sont les plus petits lémuriens de la Terre. Ils ne pèsent que 30 grammes : leur queue est aussi, voire plus longue que leur corps qui ne mesure pas plus d’une douzaine de centimètres. Les chirogales sont insectivores et frugivores. Ils peuvent aussi apprécier du miel et du nectar. Cette famille se caractérise aussi par le fait que ce soit la seule famille de lémuriens hibernante leur de la saison sèche.

     

    Ø  Les daubentonidés : Le Aye-Aye

    WWF / Dossier n°5 : Les lémuriens.

     

    Le aye-aye est la seule espèce connue appartenant à la famille des daubentonidés. Mais, les lémuriens géants, espèce éteinte, appartenait également à cette famille. Le aye-aye est souvent assimilé au spectre, avec son étrange profil composé d’une queue touffue et de yeux globuleux. Son habitat se résume à la forêt équatoriale, mais, en raison de la destruction de son environnement et pour mieux les apercevoir, il vaut mieux aller essayer d’aller trouver le aye-aye dans une petite île au Nord de Madagascar, où il a été réintroduit avec succès.

     Les ayes-ayes ont deux particularités : ses longues incisives recourbées sur elles-mêmes, ce qui  lui permet de ronger l’écorce et les graines. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a beaucoup été assimilé aux rongeurs. Et enfin, ses doigts sont longs et crochus, ce qui lui permet d’aller fouiller dans le fond de l’écorce pour « pêcher » larves et insectes. 

    ***

    Texte : © 2014 Sasha Auffret (alias Sasha27). 

    Source : Club Panda, byWWF / Dossier n°1 : Océans et côtes.

     

     

     

     

    Images : itsnature.org ; akannamelusine.skyrock.com ; monde.des.mammiferes.free.fr ; animals.nationalgeographich.com

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    Ce dossier va plu, ou pas ? N'hésitez pas à le commentez et à le partagez !

    Bonne soirée! 

    Bizz

    WWF / Dossier n°3 : Le but des Parcs Zoologiques.


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  • Hello ! Aujourd'hui un petit article pour vous expliquer ce que vous savez sûrement déjà : pourquoi les hirondelles migrent-elles en hiver. Mais, je vais essayer de vous en apprendre plus sur ce phénomène...

    PHOTOS NON DE MOI, SOURCE A LA FIN DE L'ARTICLE

    ~

    Les hirondelles sont des oiseaux de la famille des Hirundinidae ayant la particularité de migrer en hiver vers des pays chauds. Étudions ce phénomène.

    Les hirondelles nichent dans la moitié Nord de la France en été, car dans les pays du Sud il y fait trop chaud pour elles. Elles sont des dizaines dans la même colonie, et nichent toutes dans un même espace. Les nids sont positionnés en haut des arbres et Nid d'hirondelles. leur forme est ronde. Nous pouvons d'ailleurs entendre près d'un "coin à nids" de nombreux piaillements, et voir de nombreuses crottes tombées devant vous, attention ! Lors de l'hiver, lorsque la température redevient fraîche, les hirondelles redescendent dans le Sud... mais également parce que leur nourriture ne se trouve plus en Europe en hiver, donc, elles sont obligés de suivre leur nourriture pour survivre. Mais, où vont les hirondelles ? Elles vont-elles chaque année ? Et bien, en fonction des espèces, elles se retrouvent en Afrique du Sud, en Côte d'Ivoire et vers le Sénégal !

    Carte du trajet migratoire de l'hirondelle rustique

    Les hirondelles parcourent au moins 1O OOO kilomètres pour rejoindre leur destinations et font tout cela en vol battu, c'est-à-dire en battant constamment des ailes ! Beaucoup d'hirondelles et de petits n'arriveront pas à destination, notamment les plus affaiblies et les oisillons, car les hirondelles pondent leur œufs juste avant de quitter le nid...

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    Sources des images : aeschne.wordpress.com / hirondelles.oiseaux.net/migration.html /

    Voilà ! Cet article est un peu court et ne semble pas terminer, mais, bah, je sais pas trop quoi dire de plus enfaite ^^'.

    Bonne journée !

    La migration des hirondelles.


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